Atypikoo : le réseau social des neuroatypiques › Forums › Discussions générales › l’habitat propice au zèbre
- Ce sujet contient 40 réponses, 16 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
ephe, le il y a 23 heures et 14 minutes.
- 18 février 2021 à 17:43 #73306
je te conseille vers la vallée d’Ossau pour ton habitat troglodyte d’acier parallélépipédique
18 février 2021 à 17:51 #73308Là où l’extérieur humain est bien rangé. En Suisse ?
18 février 2021 à 17:54 #73309je connais au moins deux pays mieux rangés que la suisse. un zebrhevlète c’est une espère atypique.
18 février 2021 à 17:57 #7331018 février 2021 à 18:02 #7331318 février 2021 à 18:12 #73314cabane cristalline, mue par la pensée, au gré des rayons
murs qui se transparentent pour voir jouer les branches au vent feuillu, ou s’opacifient pénombre quand la ouate s’impose
un poil en-terrée pour la sentir battre, et légère aussi avec un nid en l’air, ouvert aux étoiles, dans un arbre, un tunnel de lumière pour y grimper
clairière sauvage, vitale, loin du bruit mécanique
à poil, le plus possible, pour que les animaux s’approchent. des biches des renards des tigres des lézards, des pangolins.
une cascade fraîche, des rochers chauds
quelques autres sauvages, comme moi, au regard éclairé
pour s’étaler dans la mousse
et croquer des trucs bons qui poussent ici et là22 février 2021 à 20:11 #74344Une yourte dans la forêt, aux pieds de montagnes mais à 20 minutes d’un cinéma 😉
exigeant non ?23 février 2021 à 17:37 #74550il y a pas longtemps j’ai décidé de remplacer le mot « exigeante » par « sélective », car ça rime avec psychologie positive alors que l’autre rime avec chiante.
ex: je vis dans les montagnes, parsemées ça et là de yourtes, à 15 minutes d’un cinéma, de village, mais cinéma quand même.
tu vois tout est possible 🙂- Cette réponse a été modifiée le il y a 23 heures et 15 minutes par
Isha.
23 février 2021 à 18:29 #74570@lucinette
Je te rejoins là dessus.
Je suis en yourte à la campagne depuis 6ans. Le calme, l’espace, les poules. Le son du vent dans les branches, la pluie sur le toit de la roulotte la nuit, le vent qui menace pour du vrai.Puis le train, la ville, la foule, les lumières et les Klaxons. La musique, les rires enivrés dans un bar surchauffé, la promiscuité… je me remplis jusqu’à déclencher le système, dérailler la machine.
Alors je reviens, le train, l’espace, le calme. L’absence, le vent sur mon visage. La lenteur des jours et la tendresse rassurante des nuits
L’un sans l’autre, je l’imagine difficilement
- Cette réponse a été modifiée le il y a 23 heures et 9 minutes par
ephe.
23 février 2021 à 18:31 #74573 - Cette réponse a été modifiée le il y a 23 heures et 15 minutes par
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