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La réalisation de sa propre neuroatypie est souvent une étape d’ampleur dans la vie des personnes concernées. Savoir que l’on a un haut potentiel intellectuel (HPI) nous permet bien souvent de mieux prendre en compte nos besoins et d’améliorer notre estime de soi. Certains ont tout naturellement envie de partager cette bonne nouvelle avec le monde entier, d’autres font preuve de plus de pudeur. Comment décider ? Voici quelques pistes de réflexion.

Une neuroatypie « flatteuse » mais qui attire les clichés

C’est une évidence pour ceux qui sont concernés par une neuroatypie, quelle qu’elle soit : les fonctionnements neurologiques différents sont encore mal perçus – et mal considérés – par le grand public.

Le haut potentiel intellectuel, qu’on appelle parfois encore douance, est ainsi souvent considéré comme une atypie « flatteuse ». Après tout, qui ne souhaiterait pas qu’on lui confirme qu’il est intelligent ? Mais la perception du grand public s’arrête souvent à cela.

On considère encore souvent les « surdoués » comme doués en tout : ils excelleraient quel que soit le domaine, sortes de petits génies capables de résoudre n’importe quel problème de manière fluide. Dans les faits, on sait bien que cela

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Publié par Cam

Journaliste HPI/TSA à la recherche du mot juste et d'un monde plus ouvert à la différence. Créatrice du podcast Bande d'Autistes !
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16 commentaires sur Faut-il dire que l'on est HPI ?