Le zèbre est un terme utilisé comme un synonyme de surdoué, HP, HPI, haut potentiel, haut potentiel intellectuel, précoce, neuro-atypique (la liste n’est pas exhaustive).
Être zèbre signifie avoir des aptitudes intellectuelles supérieures à la norme qui sont quantifiées par un score égal ou supérieur à 130 au test de Wechsler qui est le test le plus couramment utilisé. Pour les adultes, il s’agit du test WAIS 4. Cependant, certains spécialistes identifient la douance à partir de 125 au test de QI WAIS IV.
Le haut potentiel intellectuel ne se résume pas à un score élevé au test de QI. En effet, les spécialistes qui sont formés à l’identification de la douance s’appuient à la fois sur les résultats au test de QI mais également sur une étude clinique de la personne testée. Cette combinaison d’éléments permet d’identifier le haut potentiel intellectuel avec plus d’exactitude. De plus, les spécialistes prennent également un indice de confiance, en général de 95%, pour communiquer le résultat du test de QI avec une marge d’erreur.
Le test de QI associé à l’analyse clinique est actuellement l’outil le plus efficace et utilisé pour identifier le haut potentiel intellectuel.
Depuis de nombreuses années, le fonctionnement et la personnalité du zèbre sont décortiqués par des spécialistes de la douance pour essayer d’en extraire une liste de caractéristiques communes à tous les HP. Certains psychologues ont observé auprès de leurs patients qu’ils partageaient très fréquemment une liste de caractéristiques en commun, à savoir : le perfectionnisme, la passion, l’empathie, l’intensité, l’hypersensibilité émotionnelle et sensorielle, le sens de la justice, l’intuition, la résilience, l’humour, la frustration, l’idéalisme (la liste est non exhaustive).
Les chercheurs spécialisés en douance se sont emparés du sujet pour vérifier la véracité de ces observations empiriques.
Ils ont mené des études sur des échantillons de personnes surdouées. Cela leur a permis de constater que les caractéristiques observées par les psychologues ne sont pas intrinsèques au haut potentiel intellectuel.
Cependant, il existe malgré tout une liste de trois caractéristiques communes aux surdoués selon une grande partie de la communauté de la douance qui s’appuie sur le modèle de Joseph Renzulli.
Voici les trois caractéristiques qui font consensus dans la communauté scientifique de la douance :
La vitesse de conduction nerveuse au sein des cerveaux des surdoués fonctionne très rapidement, c’est pourquoi ils ont la capacité de traiter les informations de manière très performante.
Les HP ont de grandes capacités de créativité notamment car le réseau fronto-pariétal de leur cerveau est très développé.
La motivation est le moteur déterminant des zèbres qui leur permet de chercher à apprendre et à traiter des informations ainsi qu’à être créatif.
De leur côté, la docteure en psychologie Fanny Nusbaum et ses confrères Olivier Revol et Dominique Sappey-Marinier ont scindé la catégorie des surdoués (qu’ils nomment « les philo-cognitifs ») en deux sous catégories : les complexes et les laminaires. Ils se sont appuyés sur les résultats au test de QI de leur échantillon. D’un côté, les complexes ont obtenu des résultats hétérogènes et les laminaires ont obtenu des résultats homogènes au test de QI.
Selon les trois auteurs de cette étude, les surdoués qui ont un profil complexe débordent d’imagination et ont besoin d’exprimer leur grande créativité. Ils ont des difficultés à mémoriser ce qu’ils ne comprennent pas, ils ont besoin de comprendre pour apprendre. Ils ne supportent pas les règles et la hiérarchie. Ils se sentent fréquemment frustrés parce qu’ils ont de grandes attentes difficiles à atteindre.
Les surdoués qui ont un profil laminaire sont « faciles » à vivre pour les autres. Ils sont intègres et consensuels et n’aiment pas attirer l’attention. Ils utilisent leur sensibilité pour s’adapter aux attentes des autres. Leurs pensées hyper-rationnelles laissent peu de place à l’émotion. Leur cerveau raisonne de manière analytique dans une pensée globale.
La théorie des « profils complexe et laminaire » ne fait pas consensus dans la communauté de la douance.
En 1940, le zèbre est devenu le symbole des maladies rares. En effet, le Dr Theodore Woodward, professeur de médecine, a utilisé ce terme en comparaison avec les maladies orphelines qui sont plus rares à rencontrer et donc à diagnostiquer. En pratique, il donnait ce conseil à ses étudiants : « lorsque vous entendez le son des sabots, pensez à des chevaux plutôt qu’à des zèbres. »
Cette métaphore permet de comprendre qu’il est plus rare de diagnostiquer une maladie orpheline qu’une maladie courante.
Bien plus tard, en 1998, le terme zèbre a commencé à être progressivement rapproché du haut potentiel intellectuel par l’intermédiaire du romancier Alexandre Jardin qui utilisait le terme pour décrire « les personnes qui raisonnent en dehors du cadre, out of the box ».
En 2000, la psychologue Jeanne Siaud-Facchin démocratise le terme pour parler des personnes au fonctionnement cognitif très performant dans son livre « L’enfant surdoué : l’aider à grandir, l’aider à réussir ». Elle parle de l’enfant surdoué comme « un drôle de Zèbre ! »
En 2008, dans son livre « Trop intelligent pour être heureux ? L’adulte surdoué », la psychologue Jeanne Siaud-Facchin fait une comparaison entre les personnes HPI et le terme « zèbre » : « Le zèbre, cet animal différent, cet équidé qui est le seul que l’homme ne peut apprivoiser, qui se distingue nettement des autres dans la savane tout en utilisant ses rayures pour se dissimuler […] Et puis, comme nos empreintes digitales, les rayures des zèbres sont uniques et leur permettre de se reconnaître entre eux. »
En 2021, dans sa nouvelle édition, le Larousse fait évoluer la définition de « zèbre ».
Avant 2021 : « Individu quelque peu bizarre ou inquiétant : « Un drôle de zèbre, ce type-là. »
En 2021 : « Personne surdouée. Appellation de la psychologue Jeanne Siaud-Facchin afin de dépasser les représentations attachées aux termes « surdoué », « haut potentiel », « enfant précoce ».
Peut-on être un zèbre avec un QI normal ?
La progression du QI de la population est représentée sur la courbe de Gauss.
Un QI « normal » correspond à un score compris entre 85 et 115 au test de QI. Le score moyen du QI au sein de la population est observé à 100.
Pour être considéré comme zèbre, il faut atteindre ou dépasser au moins 125 au test de QI.
Par conséquent, une personne qui obtient un score moyen au test de QI ne peut pas être considérée comme surdouée, mais il existe toujours des exceptions à la règle. Concrètement, une personne qui obtient un score moyen pourrait malgré tout posséder un haut potentiel intellectuel dans l’hypothèse où le résultat de son test de QI ne refléterait pas la réalité. En effet, le stress, la fatigue, le doute et le manque de confiance en soi, etc. peuvent impacter le résultat du test de QI. C’est notamment pour cette raison que les spécialistes formés à la détection de la douance s’appuient à la fois sur le résultat au test de QI ainsi que sur l’analyse clinique de la personne testée pour être en mesure d’identifier le haut potentiel intellectuel.
Atypikoo propose un test HPI pour détecter la possibilité d’être zèbre.
Le seuil de QI qui permet d’identifier le haut potentiel intellectuel est différent selon les pays. En France, le seuil est fixé à 130. Ce seuil a été choisi de manière théorique par les scientifiques. C’est pourquoi, dans la pratique le score de 130 sert surtout de référence.
Le test de QI n’est pas le seul élément qui permet de détecter le haut potentiel, il doit systématiquement être complété par une analyse clinique effectuée par un psychologue spécialisé en douance.
Le psychologue s’appuie donc sur le résultat au test de QI et l’analyse clinique pour effectuer son compte rendu de douance. L’analyse clinique peut jouer un rôle déterminant en cas de score de QI en dessous du seuil de 130 mais en présence d’un fonctionnement de HPI.
De plus, un indice de confiance permet de mieux cerner le niveau d’intelligence au test de QI d’une personne car il existe toujours une marge d’erreur. En général, les spécialistes qui encadrent la passation d’un test de QI préfèrent donc communiquer l’intervalle de confiance qui permet de situer le résultat au test de QI dans un intervalle de 5%.
Donc théoriquement, il faut obtenir un score égal ou supérieur à 130 au test de QI mais en réalité, l’écosystème autour du test de QI joue un rôle quasiment aussi déterminant pour identifier la douance.
Il n’existe pas de liste de caractéristiques à cocher pour savoir si l’on est surdoué. Cependant il existe des signes qui permettent d’affirmer que l’on est très certainement surdoué.
Le fait d’avoir appris à marcher, parler, lire, écrire, compter avant l’âge normal est un signe de précocité.
Le fait d’avoir sauté plusieurs classes dans sa scolarité est un signe de précocité.
Le fait d’avoir atteint un niveau d’études très élevé et de manière brillante est un signe de douance.
Le fait d’avoir une mémoire exceptionnelle et hors norme est également un signe de douance.
Le fait d’avoir un talent hors norme dans un domaine scientifique ou intellectuel est également un signe de douance.
La liste n’est pas exhaustive.
Il n’est pas indispensable de confirmer son impression de douance, mais pour ceux qui en ressentent le besoin, il existe un annuaire de professionnels sur Atypikoo qui permet de contacter un psychologue pour passer un test de QI WAIS IV.
Il n’existe pas un type de personnalité de surdoué ni un profil type. Tous les HPI sont uniques. Il en existe des extravertis, des timides, des fonceurs, des passionnés, des génies…
Cependant, si l’on se réfère au modèle de Joseph Renzulli, les zèbres partagent tous la particularité de posséder trois caractéristiques : ils ont de hautes compétences intellectuelles, une grande créativité et une détermination très puissante. Concrètement, les zèbres ont des aptitudes très développées pour penser, réfléchir, apprendre, analyser, etc. Ils ont aussi de grandes capacités créatives ; cela ne se limite pas au sens strict du domaine artistique, en effet, les surdoués sont également créatifs pour mettre en place des processus, des méthodes d’organisation, etc. Enfin, ce sont des personnes très stimulées et motivées par des projets ou des activités. Cela leur procure une énergie exponentielle pour s’investir et concrétiser leurs idées.
Selon les chercheurs spécialisés dans les neurosciences de la douance, l’empathie n’est pas une caractéristique constitutive du HPI. Les psychologues qui considèrent que les zèbres sont tous empathiques sont accusés de véhiculer une vision biaisée de la douance. En effet, les psychologues ne voient en consultation qu’un petit échantillon de la population des zèbres. Par ailleurs, ces zèbres se rendent en général en consultation pour aborder les difficultés qu’ils rencontrent dans leur vie. C’est pourquoi les psychologues ont une vision restreinte de la population HPI. Cela dit, de nombreux zèbres ressentent une empathie très développée. Cela peut notamment s’expliquer parce qu’ils sont très attentifs aux détails et à l’environnement qui les entoure. En général, les zèbres comprennent vite et bien les autres notamment car ils ont des aptitudes en métacognition très développées. Il y aussi de nombreux HPI qui sont impliqués dans des missions pour aider les personnes en difficultés. Pour autant, il est impossible de généraliser cette caractéristique à tous les zèbres. Par ailleurs, il y a aussi des surdoués qui n’ont aucune empathie. Par exemple, les serials killers sont souvent très intelligents et pourtant dénués d’empathie.
De la même manière que certains psychologues considèrent que tous leurs patients surdoués sont empathiques, des psychologues considèrent qu’ils sont tous hypersensibles. La ligne entre douance et hypersensibilité peut être étroite. Dans les deux situations, les personnes concernées ont un fonctionnement neuronal particulier et deux caractéristiques en commun : elles possèdent une grande créativité et une grande capacité d’observation des détails. Pour autant, non seulement la douance et l’hypersensibilité sont deux particularités très différentes et d’autre part, il n’y a pas de lien entre les deux. En effet, les surdoués ne sont pas systématiquement hypersensibles. Des études scientifiques ont été menées sur cette question et le résultat de ces études a permis de conclure que l’hypersensibilité n’est pas une caractéristique de la douance.
Certains zèbres sont hypersensibles, ils ressentent une sensibilité émotionnelle ou sensorielle de manière intense. Cependant, la sensibilité dépend des tempéraments et des personnes.
Les surdoués semblent aimer les jeux de mot, l’ironie et le sarcasme. Ils aiment surtout la réflexion. Ils préfèrent donc réfléchir et analyser les éléments humoristiques pour trouver les références et croiser leurs connaissances. Les atypiques cherchent à être stimulés dans tous les domaines, donc l’humour en fait aussi partie. Pour autant, les surdoués ne sont pas des personnes plus drôles que les autres et ils n’ont pas un sens de l’humour particulier.
Le syndrome de l’imposteur est une notion clinique qui décrit le raisonnement des personnes qui doutent systématiquement de leurs compétences malgré le fait qu’elles aient déjà atteint la réussite. Ces personnes considèrent qu’elles manquent de légitimité ou de compétences dans leur vie personnelle ou professionnelle et qu’elles doivent s’améliorer pour dépasser leurs faiblesses.
Certains zèbres se sentent concernés par ce syndrome. En effet, malgré le fait qu’ils possèdent de grandes aptitudes cognitives, certains surdoués trouvent qu’ils ne sont pas assez intelligents ou compétents car ils ont conscience de tout ce qu’ils ignorent. D’autres zèbres ne se trouvent pas assez HPI car ils ne font pas partie de la catégorie des très hauts quotients intellectuels. D’autres zèbres qui ont bien été identifiés HPI par un test de QI encadré par un psychologue continuent de croire qu’ils ne peuvent pas être haut potentiel intellectuel.
Cependant, tous les surdoués ne doutent pas de leur confiance ou de leurs compétences. Ce sentiment dépend en partie de l’histoire personnelle et de la personnalité des zèbres.
Être multi-potentiel signifie qu’une personne a de nombreuses compétences dans des domaines très variés. On utilise souvent la métaphore du couteau suisses qui illustre bien ce phénomène.
Le terme “multipotentiel” correspond bien aux personnes haut potentiel intellectuel car elles possèdent de grandes aptitudes cognitives qui leur permettent de développer facilement et rapidement des compétences et des connaissances dans des domaines précis. Les zèbres sont en général des personnes curieuses qui aiment découvrir de nouveaux domaines.
Certains HP sont même identifiés comme des « job slasher ». Ce terme décrit le fait de changer constamment de poste ou de milieu professionnel. Ce phénomène peut être lié au besoin d’assouvir une grande curiosité ou une envie d’expérimentation ou le fait de s’ennuyer dans un poste ou un milieu où les personnes ont fait le tour du sujet.
L’hyperactivité peut être comprise de deux manières : d’une part, il peut concerner le fait d’être très dynamique et de chercher à être stimulé, notamment pour ne pas s’ennuyer. D’autre part, l’hyperactivité peut concerner un trouble neurodéveloppemental, dans ce cas, on parle de TDAH : trouble déficit de l’attention avec hyperactivité. Ce trouble se développe dès la petite enfance. Il est impératif de le détecter rapidement pour accompagner l’enfant et trouver des solutions pour l’aider à évoluer.
Le TDAH est parfois confondu avec le haut potentiel intellectuel car il est difficile de percevoir les raisons qui poussent un enfant à s’ennuyer à l’école ou qui le poussent à chercher continuellement des activités pour s’occuper. Il est conseillé de contacter un spécialiste qui pourra identifier si un enfant a un TDAH ou un HPI.
On pourrait penser que tous les surdoués sont des hyperactifs « cérébraux » car ils ont besoin de trouver des informations pour satisfaire leur curiosité intellectuelle et ils ont besoin d’être stimulés et d’être occupés par une activité qui fait travailler leur cerveau. Pour autant, l’hyperactivité n’est pas une caractéristique de la douance, cela dépend en grande partie de la personnalité des zèbres.
Il est impossible de reconnaître physiquement un zèbre atypique. En effet, les surdoués n’ont pas une apparence physique liée à leur haut potentiel. Le cliché du premier de classe qui porte une chemisette des lunettes rondes est une ineptie. Aucun surdoué ne ressemble car ils ont tous une personnalité qui leur appartient et une apparence physique différente.
Si l’on met de côté l’aspect physique, il est possible de reconnaître un zèbre dans certaines situations. Tout d’abord, les enfants qui marchent, parlent, lisent etc. avant l’âge normal sont très probablement surdoués. D’autre part, les personnes qui exercent des professions très spécialisées telles que : astronaute, chirurgien, physicien, etc. sont probablement HPI.
Certains zèbres qui connaissent bien le sujet de la douance sont capables d’identifier les personnes HPI qu’ils fréquentent. En effet, lorsqu’un zèbre connaît bien le fonctionnement des surdoués, notamment au niveau du raisonnement intellectuel, il peut le repérer facilement auprès des individus dont il connaît bien le fonctionnement.
Consulter un psychologue peut aider à mieux comprendre son fonctionnement, ses difficultés et ses forces.
Des professionnels en psychologie se sont spécialisés dans les problématiques de la douance pour accompagner et aider les personnes dans des démarches qui leur sont adaptées.
Pour trouver de l’aide, consulter l’annuaire des professionnels : www.atypikoo.com/pro/
Les addictions peuvent concerner la nourriture, l’alcool, la drogue, les sports extrêmes, les jeux (la liste n’est pas exhaustive). Si le HPI ne parvient pas à se libérer de son addiction et que cela a des répercussions négatives dans sa vie, il a la possibilité de consulter des spécialistes pour trouver des solutions. Consulter l’annuaire des professionnels : www.atypikoo.com/pro/
La fatigue chronique constitue un danger pour la santé sur le long terme. En cas de problème de sommeil, il est conseillé de trouver des solutions douces qui n’ont pas d’effet d’accoutumance. Les HPI ont vraisemblablement des carences dans la production de l’« hormone du sommeil », la mélatonine. Cela peut expliquer en partie les problèmes d’endormissement et d’insomnie.
La fatigue peut aussi être liée à des carences alimentaires et en vitamines. Il est intéressant de faire une prise de sang pour identifier les carences éventuelles.
Enfin, le surmenage est une cause majeure de fatigue qui peut conduire au burn-out. Il est indispensable de guetter les premiers signes avant que la situation ne devienne hors de contrôle. Cela peut notamment entraîner une fragilité au niveau glandes surrénales (LIEN) et cela va conditionner la personne dans un cycle d’épuisement.
Pour en finir avec la fatigue, il est indispensable d’identifier les causes pour trouver un traitement naturel ou médical.
L’hypersensibilité est une réaction décuplée ressentie par l’intervention de stimuli physiques ou psychiques.
L’hypersensibilité peut être permanente ou passagère. Dans le premier cas, la personne est hypersensible depuis sa naissance, cela peut concerner ses émotions ou ses sens. Dans le second cas, l’hypersensibilité intervient par rapport à une situation particulière : son état de santé, un traitement, etc.
Pour apprendre à gérer son hypersensibilité, il existe des spécialistes pour trouver des solutions. Consulter l’annuaire des professionnels : www.atypikoo.com/pro/