Avec l’avènement du développement personnel et la démocratisation de certains concepts liés à la psychologie, les tests de personnalité ont explosé ces dernières années. Découvrir ses traits principaux et comprendre à quel « type » l’on correspond peut être séduisant… Mais cela comporte certaines limitations. Nous allons donc voir les avantages et les inconvénients du MTBI, de l’Ennéagramme, du Big Five et des autres tests si populaires en ce moment.
En France, la prise en compte des troubles du neurodéveloppement tels que l’autisme, le trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ou encore les dys est très largement médicale. Pourtant, des voix s’élèvent pour « dépathologiser » ce qui peut l’être, afin d’apporter une aide plus ciblée aux personnes concernées. Qu’en penser ?
Être haut potentiel intellectuel (HPI) sans le savoir est quelque chose de courant, et nombreux sont les adultes qui se découvrent sur le tard. Lorsqu’on n’a pas été « enfant surdoué », on peut parfois avoir du mal à digérer cette nouvelle identité, et ce nouveau regard porté sur le monde.
Les enjeux de neurodiversité sont de plus en plus présents dans le monde du travail, à mesure que les profils atypiques sont mieux pris en compte. Les personnes autistes, TDAH ou encore dyslexiques possèdent en effet souvent des compétences uniques, qui peuvent être valorisées par les entreprises.
Les personnes neuroatypiques qui se découvrent sur le tard rapportent souvent une certaine invisibilisation. Leurs proches peuvent ne pas les croire, ou considérer qu’elles sont trop « adaptées » pour pouvoir être autistes, TDAH, dys… Pourtant, il est tout à fait possible d’être autiste et de l’ignorer, ou de présenter des difficultés majeures qui ont été compensées. Pourquoi ? C’est ce que nous allons explorer dans cet article.
Omniprésence des réseaux sociaux, intelligence artificielle, retouches… Notre société a fait de la mise en scène un passage presque obligé. Face à ces dérives, des tendances opposées surgissent cependant. Le retour au naturel, à la sincérité et au « sans fard » serait-il à la mode ?
« Hard skills », « soft skills »… Le jargon de l’entreprise aime catégoriser les compétences de candidats potentiels. Ces derniers temps, on parle de plus en plus de « mad skills », ces compétences hors norme qui peuvent faire se détacher une personne du lot. Et ceux-ci se trouvent souvent chez les personnes atypiques.
La manière dont nous nous attachons aux autres suit-elle des règles ? Pourquoi avons-nous tendance à tomber sur les mêmes types de partenaires amoureux, les mêmes problématiques ? Ce sont des questions auxquelles tente de répondre la théorie de l’attachement. En quoi consiste-t-elle et peut-elle nous éclairer sur nos fonctionnements ?
Une des difficultés majeures de nombreuses personnes présentant un trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est l’organisation. Oubli des dates, des rendez-vous, de ses objets… L’on peut parfois avoir l’impression que notre cerveau ne nous permet pas de vivre sereinement !
La dyslexie peut être très handicapante pour les personnes qui en souffrent. Mais ce trouble pourrait-il aussi être un avantage ? C’est ce que la science suggère : les dyslexiques pourraient avoir des capacités spécifiques, qui peuvent les aider dans certains domaines.
L’attirance romantique reste un grand mystère pour beaucoup d’entre nous. Si la sagesse populaire abonde sur ce qui est attirant ou non, les faits eux sont bien plus flous. Certaines études se sont cependant penchées sur le sujet, pour déterminer s’il existe des règles communes. Que disent-elles alors et que peut-on en conclure sur les traits de caractère les plus attirants ?
Les personnes présentant un TDAH ont souvent des difficultés spécifiques quand il s’agit de relations amoureuses et de séduction. Comment alors s’assurer de réussir sur la scène du dating et de construire des relations riches et stables ? On vous l’explique dans cet article.
En France, on estime qu’une personne sur quatre souffrira de dépression à un moment de sa vie. Pourtant, ce trouble est encore mal identifié et mal connu. Les personnes qui en souffrent se sentent en effet souvent isolées, peu comprises. Mais surtout, elles ont besoin d’un accompagnement adapté. Comment alors repérer la dépression, la traiter, et parvenir à sortir de ce mal-être profond qui touche tant de personnes neuroatypiques ?
De plus en plus d’études montrent que les identités LGBTQ+ sont présentes de manière bien plus courante chez les personnes neuroatypiques que dans le reste de la population. Serait-ce alors dû à un fonctionnement différent, ou simplement à une plus grande liberté d’exploration ?
Les insomnies touchent malheureusement beaucoup de personnes, parfois sans que celles-ci s’en rendent compte. Comment alors savoir si l’on est insomniaque, et surtout comment mieux dormir ?
Savoir qu’on a un haut potentiel intellectuel (HPI) nous permet bien souvent de mieux prendre en compte nos besoins et d’améliorer notre estime de soi. Certains ont tout naturellement envie de partager cette bonne nouvelle avec le monde entier, d’autres font preuve de plus de pudeur. Comment décider ?
Si vos pensées vous encombrent et que vous n’arrivez pas à faire cesser le petit moulin qui tourne dans votre cerveau, vous êtes peut-être sujet à l’overthinking. D’autant plus que les personnes neuroatypiques y sont particulièrement prédisposées. Alors qu’est-ce que cela veut dire et comment faire pour vivre un peu plus en paix avec ses pensées ?
Les profils neuroatypiques vivent souvent la vie avec une grande intensité. Leurs passions sont décuplées, leurs dégoûts les submergent. Avec d’un côté l’envie de tout explorer, et de l’autre celle de rester dans son cocon. Comment alors équilibrer ces tendances, et trouver un juste milieu ?
En France, l’orthographe est un enjeu pour nombre d’entre nous. On y voit souvent un signe d’intelligence, ou encore de rigueur. Pourquoi l’Hexagone est-il si obsédé par l’orthographe, et ne gagnerions-nous pas à lâcher un peu de lest ? C’est le thème qu’on va explorer dans cet article, pour montrer que les capacités à s’exprimer et l’orthographe sont bien deux concepts séparés.
Est-on forcément traumatisé en étant neuroatypique ? Peut-on souffrir de stress post-traumatique sans le savoir ? Autant de questions qui arrivent sur le devant de la scène, alors que le lien entre le trauma et les profils neurodivergents se précise. Dans cet article, nous allons définir le traumatisme et ses manifestations parfois discrètes. Puis nous tenterons de démêler ce qui relève du trauma et de la neuroatypie, avant de proposer quelques pistes de thérapie.
Les techniques d’arnaque ont évolué avec le temps, et elles sont désormais adaptées à notre monde hyperconnecté. Sur les sites de rencontre, des personnes mal intentionnées peuvent malheureusement profiter de la vulnérabilité et des espoirs des utilisateurs, venus créer des relations. Dans cet article, on se penche sur les arnaques les plus courantes, et les manières de s’en protéger.
L’isolement social est malheureusement une réalité pour beaucoup de personnes autistes. Difficultés à créer du lien, anxiété sociale, repli sur soi… Tout cela est cependant loin d’être une fatalité, et l’on peut très bien être autiste avec une vie sociale épanouie. Zoom sur cette problématique, et sur les moyens de se faire des amis en tant que personne autiste.
On entend de plus en plus parler du « microbiote » ces dernières années. Cet écosystème microscopique qui existe en nous a longtemps été méconnu. Pourtant, ses implications pour notre santé humaine se révèlent de plus en plus précises à mesure que les chercheurs explorent son rôle dans plusieurs aspects de notre vie.
En amour, on entend parfois que nous sommes attirés par nos opposés… Ou bien par des personnes qui nous ressemblent. Qu’en est-il réellement ? Nous allons voir ce que nous dit la science sur notre partenaire idéal… Et sur les personnes que l’on va instinctivement chercher en amour.
Si vous êtes lassés de vos applis de rencontre, si vous n’en pouvez plus d’enchaîner les dates, ou si vous avez juré qu’on ne vous reprendrait plus à faire des rencontres, vous souffrez peut-être de « dating fatigue » ! De quoi s’agit-il et comment s’en protéger ?
Les sites de rencontres peuvent souvent être des lieux qui accentuent les difficultés sociales des personnes neuroatypiques. Pour les profils de personnes HPI, TSA ou encore TDAH, il peut être très difficile d’y faire des rencontres, de sauter le pas, ou d’entretenir des conversations
Vérifier très régulièrement ses réseaux sociaux. Craindre de louper une actualité importante. Se sentir toujours en train de courir après les tendances, avoir l’impression de manquer des choses dans son groupe social ou dans sa vie en général... Notre société actuelle entretient la peur de louper des informations, ou des expériences. Et cela peut avoir un effet néfaste sur notre équilibre émotionnel.
Suis-je accro ? Il est courant de s’être posé la question pour des comportements variés, des plus bénins au plus néfastes. Comment alors déterminer ce qui relève de l’addiction ou de la simple habitude ? Sommes-nous plus sujets à devenir addict lorsque nous sommes neuroatypiques ? Voici comment repérer si l’on est concerné, et les pistes pour s’en sortir.
Le grand public ne fait pas souvent rimer autisme avec travail. Pourtant, bien que les relations des autistes à l’emploi soient souvent compliquées, il ne s’agit pas d’une fatalité. Beaucoup de personnes présentant un trouble du spectre autistique (TSA) travaillent, et elles s’épanouissent dans leur domaine
Vous vous êtes renseigné sur le sujet, et vous pensez que vous pourriez être autiste. Mais vous êtes perdu devant la masse d’informations souvent contradictoires qui se présente à vous. Comment passer des tests et obtenir éventuellement un diagnostic de trouble du spectre autistique (TSA) ? Vers quels professionnels se tourner ?
« Asperger » ou « autiste » est-ce la même chose ? La distinction est de moins en moins faite entre ces deux profils, grâce à l’évolution des catégorisations. Alors peut-on alors encore se qualifier d’« Asperger » et y a-t-il une différence réelle entre ces deux neuroatypies ? On fait le tour de ce vaste sujet.
Avez-vous remarqué que vous attirez toujours le même type de personne ? Que vos amis se mettent souvent en couple avec des profils particuliers ? Ce n’est pas un hasard. En psychologie, la théorie de l’attachement montre que nous avons tendance à reproduire le style d’attachement que l’on a reçu pendant son enfance. On explore ce que sont les styles d’attachement, et la manière de les prendre en compte pour ses relations amoureuses.
L’autisme, qu’on qualifie encore largement de « trouble », aurait-il des avantages ? Loin de minimiser les souffrances des personnes autistes, les nouvelles approches de la recherche donnent des nuances à ce qui relève d’une différence plus qu’une déficience.
L’empathie est un symbole de la capacité de l’être humain à être bienveillant. Lorsque nous sommes en empathie, nous percevons les émotions des autres, et nous pouvons nous y adapter… Parfois trop ? On se penche sur le sujet dans cet article, afin de savoir si l’on peut parfois être « trop » empathique, et si les personnes neuroatypiques ont une empathie qui s’exprime différemment.
Vivre en couple en étant autiste peut poser des questions. Sommes-nous trop particuliers, trop sensibles, pas assez au fait des codes sociaux ? Si l’on peut répondre « non » à toutes ces questions, on peut noter que des difficultés spécifiques surviennent souvent quand une personne TSA partage son espace de vie avec une personne neuroatypique.
L’héritage de Freud peut être résumé en un seul mot : l’inconscient. Pilier fondateur des théories psychanalytiques, il sous-tend des approches et traitements variés. Mais elles sont désormais remises en cause à l’internationale, bien que très courantes en France. On se penche sur la théorie de l’inconscient, et comment ces courants peuvent influencer la prise en charge des personnes neuroatypiques.